Car c'est bien du film plus que du roman original dont s'inspire la dessinatrice Misao Inagaki, encore qu'elle n'hésite pas à mélanger les deux selon son inspiration.
Helas, mille fois hélas, et malgré l'avertissement sur la couverture, nous voici face à une oeuvre bien trop edulcorée et proprette qui ressemble plus à un Shojo traditionnel destiné à faire frisonner à peu de frais et sans conséquences les adolescentes qu'à une nouvelle interpretation de la terrible histoire de la pauvre Sadako Yamamura.
Un achat décevant donc qui n'est au bout du compte que l'un de ces nombreux produits dérivés engendrés par le succès de la franchise.